Qu’est ce qu’une zone érogène ?
« Une zone érogène (du grec ancien eros désir et -gène) est une partie du corps humain de grande sensibilité et qui, lorsqu’on la stimule, est susceptible de provoquer une excitation sexuelle. Selon les individus, cela peut concerner n’importe quelle partie du corps mais une majorité des hommes et des femmes ont des zones érogènes communes. La peau est la plus commune mais il en existe bien d’autres : la prostate chez l’homme et le clitoris chez la femme sont, par exemple, deux zones érogènes.«
(source : Wikipédia)
La sensibilité d’une zone érogène est due à la présence de nombreux récepteurs sensoriels, les « corpuscules de volupté« .
Les zones érogènes primaires
La zone érogène peut concerner n’importe quelle partie du corps, mais nous, hommes et femmes, avons tendance à privilégier et à stimuler en priorité les organes génitaux, pour provoquer le désir et l’excitation sexuelle.
Ceux-ci font partie des zones érogènes primaires, dont la stimulation provoque un plaisir sexuel, voire même un orgasme. Chez la femme, le clitoris, la vulve, les petites et les grandes lèvres et le vagin sont des zones érogènes primaires.
Chez l’homme, il s’agit de la verge, du gland, du scrotum qui entoure les bourses et du périnée (cette zone située entre les testicules et l’anus).
Les zones érogènes secondaires
Les zones érogènes secondaires sont, quant à elle, beaucoup moins stimulées lors des ébats amoureux et c’est bien dommage, puisqu’elles ont, elles aussi, un fort pouvoir érotique. Souvent, celles-ci sont ignorées du plus grand nombre, et seuls les explorateurs(trices) effréné(e)s les auront découvertes !
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Osez explorer les zones érogènes secondaires !
Pour que vous puissiez vous aussi explorer avec gourmandise et délice ces zones jusque là inconnues pour vous, je vous propose une petite visite guidée.
Avant de commencer la visite, je dois vous prévenir : pour ce qui est des zones érogènes secondaires, leur sensibilité varie d’une personne à l’autre, alors procédez avec douceur, et ne continuez que si vous sentez que cela plaît à votre partenaire… si vous avez visé « dans le mil », vous en serez rapidement informé(e)…
Les lèvres, les lobes des oreilles, la nuque, le dos, les aisselles, le nombril, l’intérieur des cuisses, les fesses (à caresser ou même à mordiller), sont autant de zones qui méritent d’être stimulées, et qui contribueront à l’éveil et à l’intensité du désir.
Plus particulièrement chez Monsieur : les testicules (à manipuler avec beaucoup de précaution), les mamelons (attention, certains hommes n’aiment pas du tout), les plis des coudes, des poignets, des genoux, etc…
Pour en profiter au mieux, je vous propose un exercice :
Tamisez la lumière ou placez quelques bougies dans la chambre (ou tout autre lieu de votre choix), mettez une musique que vous aimez (il semblerait que le jazz soit propice aux ébats amoureux…), allongez-vous tous les deux confortablement, détendez-vous. Votre esprit doit être disposé aux caresses, elles n’en seront que meilleures.
Concentrez vous chacun sur le corps de l’autre, dans sa globalité, sans stimuler les organes génitaux. A l’aide de vos lèvres, de votre langue, de vos dents, de vos seins (Mesdames), de vos cheveux, explorer, caresser le corps de votre partenaire, en variant les techniques de toucher et la pression exercée. Vous verrez que vous découvrirez chacun de nouvelles sensations, riches et variées, et que votre désir de l’autre en sera décupler…
Lorsque votre partenaire explore votre corps, laissez parler sa créativité, vous serez sans doute vous-même surpris(e) des nouvelles sensations procurées par des zones que vous n’imaginiez sans doute pas « érogènes »….
J’espère que ces quelques lignes vous auront apporté des réponses sur «les zones érogènes secondaires masculines»